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Les règlementations d’un réaménagement de logement

Sur un bâti existant, les autorisations sont fonction de l’envergure du projet. La mairie définit en fonction de la surface ou du volume, la nécessité de disposer d’une autorisation pour entreprendre les travaux. Quel est alors le type d’autorisation en fonction de votre réaménagement? Des réponses seront apportées dans cet article.

Réaménager un logement : la définition

Réaménager dans son étymologie traduite un nouvel aménagement c’est-à-dire un apport de nouvel ordre dans son intérieur. Il est alors logique que l’on parle de même chose dans le cadre d’un réaménagement ou aménagement.

Aménager un logement de son côté signifie, rénover ou restructurer dans son intérieur en vue de changer de décor, de l’embellir ou de l’entretenir. Cela n’engage pas alors des travaux plus conséquents. On peut aussi aménager pour un but d’agrandir ou d’avoir un niveau supérieur, ou même de transformer le logement habitable en une autre destination, des cas qui obligent la disposition d’un permis de construire.

L’aménagement est à distinguer de la construction. En fait, réaménager c’est agir sur un existant, non créer des nouveaux ouvrages ou entendre la surface au sol d’une habitation.

Les aménagements qui ne nécessitent pas une autorisation

Les travaux intérieurs n’ayant aucun impact sur l’aspect extérieur de la maison ne nécessitent aucune formalité, à l’exemple des :

  • Aménagements de toutes les pièces : salle de bain, cuisine, toilette, chambre enfant, parents ou living,
  • Aménagement d’une buanderie,
  • Aménagement d’un garage d’un entrepôt comme coin cave à vin, etc.

Est excepté à cette règle l’aménagement des combles en une surface habitable.

Aménagement des combles : pourquoi est-ce une exception?

Le principe reste toujours le même : « tout travaux d’aménagements ne conduisant pas à changer l’extérieur et la destination de la maison ne nécessite aucune formalité ». Dès la construction, le propriétaire est tenu à officialiser dans les démarches administratives, la Surface hors Œuvre Nette ou SHON. Il s’agit de la surface habitable de la maison hors les servitudes telles les couloirs, les escaliers, etc. Ainsi, lorsque le comble devient habitable, un espace supplémentaire s’ajoute à la maison changeante carrément sa nature.

Les aménagements nécessitant des autorisations

Vient le temps où vous désirez par exemple, installer un bureau de chez vous. On ne vous exige aucune formalité, toutefois si le règlement de votre copropriété y interdit, renseignez-vous auprès d’eux et de votre mairie. Cette dernière est plutôt claire dans les aménagements d’un logement en

  • Un lieu de travail,
  • En local commercial,
  • Un établissement recevant du public ou ERP,
  • Aménagement votre logement se situant dans un site sauvegardé ou classé,

Ce sont tous des aménagements, même n’apportant pas d’espace supplémentaire de la maison, requièrent une autorisation. En fait, un logement est totalement à différencier d’un local, l’aménagement en un local conduit ainsi à la création de nouveaux murs de séparation ou au contraire à en abattre certains, à installer des équipements volumineux, etc.

Quelles autorisations exactement?

Pour un comble aménagé, qu’il soit compris entre 5 à 20 m2, à munir d’une lucarne ou d’une fenêtre toit amenant le changement de la charpente, la mairie exige une déclaration de travaux. Dans la mesure où vous agissez sur la structure porteuse ou la façade, on vous exigera un permis de construire. Ce dernier est néanmoins obligatoire dans les aménagements de la maison changeant sa destination.

Conseils pour repérer un châssis de qualité

chassis de qualité

Marre de remplacer vos châssis tous les ans et vous avez envie de vous tourner vers un modèle de qualité, mais comment le reconnaître ? Avec les milliers de modèles qu’on trouve sur le marché, il est souvent difficile de trouver un châssis de bonne qualité. Dans cet article, on vous livre alors quelques astuces pour vous aider à trouver un châssis de qualité.

Se pencher sur l’isolation

On reconnaît souvent la qualité d’un châssis à la performance de son isolation. En effet, on retrouve sur le marché un grand nombre de matériaux. Toutefois, ces derniers ne disposent pas des mêmes capacités isolantes. Le bois est souvent considéré comme le matériau le plus isolant pour un châssis. Avec une grande résistance au froid et à la chaleur, les châssis en bois de chez https://aaschassis.be sont capables garder la maison au chaud pendant tout l’hiver et au frais pendant tout l’été. D’ailleurs c’est ce matériau qui dispose de la capacité de transmissibilité de la chaleur la plus faible.

L’aluminium peut également constituer un bon isolant. Si ce dernier a été considéré pendant très longtemps comme un vrai pont thermique, il existe aujourd’hui des techniques qui permettent de réduire la transmission de la chaleur de ce matériau. S’il est un moins bon isolant que le bois, il reste très résistant aux différentes agressions extérieures. Plus abordables que le bois, un châssis en aluminium peut être considéré comme un châssis de qualité.

Examiner la résistance du châssis

Pour savoir si c’est un châssis de qualité, il est également important d’examiner la résistance du châssis. En effet, cet élément de la fenêtre a été non seulement conçu pour garantir l’étanchéité de la maison, mais aussi pour assurer la sécurité de cette dernière. De cette manière, le châssis doit être assez résistant pour faire face aux différentes tentatives d’effractions. Comme une grande partie des cambrioleurs passent par la fenêtre pour pénétrer dans la maison, il est alors crucial que le châssis ne succombe pas au moindre choc.

En termes de résistance, l’aluminium et le PVC tiennent la première place. En effet, leur composition leur permet de résister parfaitement aux coups de marteau ou encore de tournevis que les cambrioleurs utilisent pour forcer les fenêtres. Le bois quant à lui est moins solide et s’abîme assez facilement après un choc.

Se renseigner sur la profondeur du dormant

Le dormant ou encore la partie fixe du châssis est un élément qui permet de déterminer la qualité d’un châssis. En effet, si la profondeur de ce dernier se situe entre 72 et 92 mm, on peut considérer que le châssis est de bonne qualité. Comme c’est le dormant qui est le plus exposé au vent, à la pluie et aux différentes agressions extérieures, il doit être équipé de joints qui vont atténuer les effets de ces intempéries sur le châssis.

Pour qu’il soit efficace dans ce rôle, les joints doivent être au minimum au nombre de trois. Enfin, les finitions au niveau du dormant peuvent être révélatrices des qualités du châssis. Plus elles sont discrètes, plus le châssis sera d’une grande qualité.

Entreprendre une éco-rénovation

Dans le challenge de lutter contre les effets du changement climatique, les exigences en matière de bâtiment ont été révolues. En effet, on sollicite les propriétaires désirant effectuer une nouvelle construction à opter pour une maison basse consommation et sur les existants à rénover les leurs pour le même objectif. C’est dans ce dernier cadre qu’est établi l’éco-rénovation. Pour en comprendre davantage, lisez notre article.

La définition d’une éco-rénovation

Rénover de façon écolo ou éco-rénovation est un type de rénovation entreprise dans le but de limiter les pertes de chaleur pour baisser ses dépenses en énergies. Des rénovations qui génèrent automatiquement du confort.

Quels travaux pour une éco-rénovation?

Une éco-rénovation consiste à agir sur les points de déperditions de chaleurs, à réduire les équipements énergivores en les remplaçants par des appareils révolutionnaires conçus pour économiser de l’énergie. Plus exactement à :

  • Renforcer l’isolation

Les points de déperdition de chaleur sont les ouvertures comme les fenêtres, les portes, etc. Actuellement, grâce à des profilés à chambres isolants, des joints étanches, des doubles et triples vitrages, ces types d’ouvertures conservent même la chaleur au lieu d’en perdre.

On note aussi, le toit, les murs et les sols, qui peuvent être isolés de différentes manières, notamment par des mousses polyéthylène, des panneaux sous-vides ou des aérogels. Les techniques peuvent se faire depuis l’intérieur ou l’extérieur de la maison.

En outre le fait que ces travaux évitent la perte de chaleur, ils apportent aussi du confort notamment l’homogénéité de la chaleur interne puis la réduction du chauffage pendant les saisons froides.

  • Changer les anciens chauffages

Au-delà de ces quinzaines d’années, un équipement de chauffage est jugé ancien. Il peut générer plus de pollution ou devenir plus énergivores.

Les systèmes de chauffages proposés actuellement sont surprenants. Depuis les chaudières à condensation par exemple, on a la possibilité de revaloriser les fumées naturellement jetées dans l’air en une source de l’énergie. Les Pompes à Chaleur ou PAC quant à elles, récupèrent les énergies de l’air, de l’eau pour réchauffer ou refroidir votre maison. L’Énergie est ainsi réduite de 10 à 35 %.

Alternatives d’appoint, on peut aussi user des poêles à pellets, les ballons d’eau chaude thermodynamique qui usent de la chaleur du soleil pour s’alimenter ou les systèmes géothermiques qui utilisent les énergies du sol.

On peut aussi mettre un gestionnaire électrique domotisé qui vous renseigne sur vos abus, et vous conseille par exemple, la nécessité d’une diminution de thermostat, les arrêts automatiques en cas d’absence, etc.

  • Recourir aux énergies renouvelables et appareils derniers-cri

Les sources renouvelables sont à proscrire dans votre éco-rénovation. Pensez par exemple à opter pour les opérateurs d’énergie renouvelable comme les sources photovoltaïques, les éoliennes ou hydrauliques. Adoptez aussi les écogestes tels l’extinction automatique des éclairages ou des chauffages en cas d’absence en optant pour les interrupteurs détecteurs de mouvement ou à éteindre simplement en cas d’inoccupation.

Si vous désirez acheter des appareils électroménagers, priorisez ceux qui indiquent le label A+++, assurant l’économie et la réduction d’émission de CO2.